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Bouddhisme et végetarisme

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Payer le tribut à la nature

Ni avec leur pattes, ni avec leurs cornes ne blessent les vaches, obéissantes qu’elles sont comme des agneaux et produisant des jarres de lait. Le roi, les saisissant par les cornes, les fit tuer par épée. Alors les dieux, les ancêtres, Indra, les titans et les démons s’écrièrent tandis que l’épée s’abattait sur les vaches : « Ceci est injuste ! » (7)

Peu d’entre vous souhaiteraient visiter un abattoir. Ce sont des endroits infernaux. La puanteur de la mort, les sols glissants ensanglantés, les bruits des machines, les tronçonneuses déchirant la chair et les os, la détonation du pistolet paralysant qui stupéfie les animaux avant que leur gorge soit tranchée et, par dessus tout, les sons de peur et de détresse des animaux conduits à leur mort ; tout contribue à faire d’un abattoir un enfer sur la terre.

Dans un abattoir, la hâte est essentielle pour garder bas les prix. Les animaux doivent être brutalisés afin d’avancer le plus vite possible vers la zone où ils sont tués. Certaines personnes qui travaillent dans les abattoirs croient qu’un animal en détresse fournit une meilleure viande à cause de la décharge d’adrénaline. Cette hormone « combattre ou fuir » – déchargée dans des conditions d’effroi – attendrie le muscle et aide à stopper les infections bactériennes de la viande. Ainsi ceux qui travaillent dans les abattoirs se soucient peu de rendre moins misérables que nécessaire les dernières minutes des animaux. Des appareils délivrant des décharges électriques les aiguillonnent vers le lieu d’abattage. Que ces instruments causent de grandes douleurs peut être vérifié par le fait qu’il sont un instrument de torture de prédilection dans les pays enregistrant les pires cas d’abus sur les droits humains.

Les ouvriers d’abattoir doivent étourdir tous les animaux avant qu’ils soient abattus afin de diminuer leurs souffrances. Les exceptions à ceci sont l’abattage musulman (halal) et juif (kasher) où les animaux sont pleinement conscients alors qu’ils sont renversés sur le dos et que leur gorge est tranchée. La douleur de ceci est inimaginable, et il est bon de se souvenir que beaucoup d’animaux massacrés de cette façon finissent sur les rayonnages de nos supermarchés. (8)

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